À partir d’aujourd’hui, je n’accepte plus de nouveaux clients sur mon service d’hébergement web parce que je compte le fermer dans quelques mois.
Je le ferme, car j’ai enfin trouvé un service qui fait ce que je désirais pouvoir faire en 2010. Cela me donnera plus de temps pour m’occuper de mes autres services.
Les clients présents seront contactés et je les aiderai (gratuitement) à migrer leurs sites sur l’hébergeur de leur choix selon leurs besoins. Par la suite, je continuerai à les assister comme maintenant avec leur hébergement par mon service de consultation.
Et maintenant, les détails…
Initialement, pour mes besoins personnels en hébergement et pour pouvoir essayer plusieurs applications à sources libres qui existaient (et en faire des vidéos sur mon site), j’avais besoin d’un endroit qui permet:
J’ai donc cherché des services existants et des logiciels existants, mais sans succès. C’est ainsi que j’ai démarré mon projet de logiciel pour gérer tout cela et tant qu’à le faire pour moi, j’ai voulu le rendre disponible pour tous et offrir le service d’hébergement. Cela a amené d’autres requis comme:
Dans l’état actuel, j’ai réussi tous ces points, sauf celui de la résilience avec un système de fichiers distribué. Je n’ai malheureusement pas eu assez de temps pour commencer à utiliser ces logiciels. Le temps manque avec tant de volets (articles sur mon site, consultation, mettre à jours les logiciels déjà présents sur mon hébergement …)
11 ans plus tard, je suis tombé sur un des nombreux services de Microsoft Azure: les Web Apps. Ce service permet tout ce que je voulais:
Le seul point négatif trouvé est que c’est plus cher, mais en même temps, Foilen Cloud n’était pas suffisamment cher. Initialement, je pensais pouvoir mettre plus de sites sur une machine, alors en ayant plus d’utilisateurs, je pourrais rentabiliser le tout. Finalement, ajouter plus de clients tout en gardant les sites rapides nécessitait d’ajouter plus de serveurs et à ce jour, mon service d’hébergement est encore une dépense de mon côté. Si je comptais le garder, il faudrait que je charge plus cher et comme dit précédemment, il n’y a même pas la résilience encore. Alors, après cet ajout, le prix monterait encore plus.
À l’heure actuelle, je suis seul pour tout gérer. Je suis le seul à faire l’assistance technique. En utilisant un autre service qui ne fait que de l’hébergement et qui a une équipe dédiée à l’assistance jour et nuit, c’est tout de même plus sûr pour mes clients.
De mon côté, cela me donnera plus de temps pour faire la consultation côté programmation des sites web de mes clients puisque c’est quand même cela ma spécialité.
Les mots d’ordre sont: ne soyez pas inquiets! Je vais:
Rien de cela ne sera fait à la hâte. Je m’attends à passer plus de 6 mois sur cet exercice.
Que la migration commence 🙂
Si vous voulez aider un ami ou un membre de votre famille avec son ordinateur, mais de chez vous, vous pouvez utiliser Chrome Remote Desktop qui est simple à installer et utiliser.
Dans la vidéo:
La première cryptomonnaie à venir au monde est le Bitcoin en 2009. En plus d’amener une nouvelle devise qui est entièrement virtuelle, elle a mis en place les fondations d’une nouvelle technologie qu’est la Blockchain décentralisée et une manière de l’utiliser de façon sécuritaire avec la preuve de travail (mining). Malgré les belles promesses initiales qu’elle n’a pas réussi à tenir, elle a ouvert le chemin à des centaines d’autres cryptomonnaies qui tentent de régler les problèmes que le Bitcoin ne veut pas régler.
Peut-être qu’un jour, nous verrons une cryptomonnaie utilisable pour les achats courant, mais pour le moment faison un état des lieux en décortiquant tous les concepts.
La Blockchain décentralisée est au centre de cette innovation technologique. C’est tout simplement une liste de blocs qui sont liés un après l’autre. Il y a donc le bloc 1 de départ, suivi du bloc 2 qui pointe sur le bloc 1, ensuite le bloc 3 qui pointe sur le bloc 2, etc. C’est une structure de base qui n’a rien d’impressionnant en soi, mais ce qui la rend spéciale est qu’elle est décentralisée. Cela veut dire que n’importe qui peut écrire des blocs dessus. Par contre, tous ne peuvent pas le faire en même temps sinon plusieurs vont pointer au même bloc précédent et cela ne ferait pas une belle chaine linéaire. Il y a donc des règles à suivre pour avoir le droit de prendre le crayon et écrire le prochain bloc.
Dans un monde idéal, s’il y a 10 machines qui veulent écrire, on choisi un ordre et on passe le drapeau au suivant. C’est d’ailleurs ce qu’une entreprise fait avec des systèmes qui sont entièrement contrôlés par elle-même puisqu’elle fait confiance en son système. Le problème ici est que c’est décentralisé et donc qu’on ne peut pas faire confiance à tous. On veut donc pouvoir « passer le crayon » de manière artificielle et juste. Cela est accompli avec la preuve de travail (mining). La façon que ça fonctionne c’est que le bloc doit contenir:
Section 3: le travail se fait dans cette dernière partie. La preuve de travail est que le contenu du bloc, lorsque passé à la fonction de hachage SHA-256 doit avoir un certain nombre de bits à 0. (Pour en apprendre plus sur le hachage, allez voir mon livre électronique ) Étant donné le le SHA-256 est une fonction sécure, cela veut dire qu’il n’est pas possible de trouver quel contenu mettre pour obtenir une valeur précise. La seule chose à faire est de changer le dernier champ pour essayer des valeurs jusqu’à temps qu’on obtienne un résultat avec le nombre de bits à 0 désiré. Comme cela implique énormément d’essais, c’est du travail et c’est pourquoi ça s’appele une preuve de travail. Si une machine obtient le bon résultat, alors elle peut envoyer son bloc à toutes les autres machines et ces dernières pourront rapidement valider puisqu’elles n’ont qu’un essait à faire.
Le nombre de bits à 0 change au fil du temps parce que Bitcoin désire qu’il y ait toujours environ 1 transaction par 10 minutes. Cela veut dire que s’il y a peu de machines en compétitions, il y a moins d’essais qui sont effectués au total alors le nombre de bits à 0 demandé sera plus petit. À l’inverse, lorsqu’il y a énormément de joueurs qui peuvent faire énorméments d’essais, il faut que ce soit plus difficile pour être plus long et donc, le nombre de bits à 0 demandé sera plus grand.
Section 2: les transactions dans le bloc. Une transaction est composé entre autre de l’adresse du compte qui envoi les fonds, du montant, de l’adresse du compte qui reçoi les fonds ainsi que d’une signature cryptographique de l’expéditeur pour prouver que c’est bien lui qui envoi l’argent. Cette transaction est diffusée à un maximum de mineurs pour qu’ils l’ajoutent dans le prochain bloc. Une autre limite importante est qu’un bloc ne peut pas être plus gros qu’un mégaoctect. Cela veut donc dire qu’il y a une limite au nombre de transactions qui peuvent être dans un bloc. C’est environ 2760 transactions par bloc et environ 1 bloc par 10 minutes (maximum 4.6 transactions par seconde). Étant donné cette limite, s’il y a trop de transactions, les mineurs vont prioriser celles qui leur donne le plus de (gaz/frais/pourboire).
Finalement, les mineurs sont récompensés de deux façons. La première est que chaque bloc créé donne une quantité de Bitcoin. Cette quantité va en descendant pour atteindre 0 éventuellement et ainsi limité le nombre maximal final de Bitcoins à 21 millions. La seconde façon est celle déjà discutée: les frais de transactions offerts par l’expéditeur des fonds.
Étant donné que cette technologie existe depuis déjà plus d’une dizaine d’années, plusieurs personnes ont pensé à des solutions à tous ces problèmes, mais les développeurs de Bitcoin ne veulent rien changer aux règles et à l’architecture. Le Bitcoin est donc voué à rester avec toutes ces lacunes. Par contre, il y a plusieurs autres cryptomonnaies qui travaillent sur ces solutions. Voici quelques exemples:
Si vous utilisez Coinbase pour gérer vos cryptomonnaies, voici comme transférer dans PayPal.
Bintray vient d’annoncer que leur service va fermer. À partir du 31 mars 2021, il ne sera plus possible de publier de nouvelles versions de nos librairies Java sur Bintray et aussi sur JCenter. Leur but est de fermer JCenter le 1er février 2022.
Avant que JCenter existe, l’endroit par excellence où publier les librairies en sources libres était Maven Central. Par contre, pour y arriver, il fallait se créer un certificat pour signer les fichiers JAR, se créer un compte et configurer tous nos projets pour avoir toutes les métadonnées utiles et signer les artéfacts. C’était quand même lourd comme processus d’entrée, mais une fois fait, c’est ensuite simple de continuer à utiliser.
Quand Bintray est arrivé avec son JCenter, son utilisation était beaucoup plus simplifiée. Il suffisait de créer un compte, d’utiliser leur extension Gradle et de publier les fichiers. Aucune signature électronique n’était requise. C’était tellement merveilleux que beaucoup de projets ont utilisé JCenter comme endroit où publier leur projet, mais aussi d’où télécharger les dépendances puisque JCenter copie aussi ce qui provient de Maven Central. Par exemple, un nouveau projet sur Android Studio utilise JCenter par défaut.
Tout « simplement » migrer à Maven Central. Je vais essayer de rendre cela plus simple en vous montrant les étapes dans la vidéo ci-haut. Les instructions officielles en anglais sont disponibles ici.
Que ce soit pour offrir un service de recherche de points d’intérêts dans un certain radius, pour savoir quel serveur est le plus rapproché physiquement d’un utilisateur ou pour trouver le chemin le plus proche, il y a plusieurs raisons de vouloir calculer la distance entre deux points sur la Terre.
(00:50) Pour ce faire, chaque endroit peut être précisément positionné avec deux angles: la latitude (de -90 à 90 degrés) et la longitude (-180 à 180 degrés). https://fr.wikipedia.org/wiki/Coordonn%C3%A9es_g%C3%A9ographiques
La principale difficulté est que la Terre est ronde et nous sommes habitués de la voir sur une carte. Il y a plusieurs projections plus ou moins connues:
(05:08) Alors, si nous voulons savoir la distance entre le Canada et la Russie, il faut vérifier le chemin le plus court. Est-ce:
La Terre peut être approximée par une sphère (c’est déjà mieux que si c’était un ellipsoïde) alors le principe est:
(07:14) Il y a la formule de haversine qui s’occupe de cela en utilisant les latitudes et longitudes des deux points. https://fr.wikipedia.org/wiki/Formule_de_haversine
Toutes les bases de données qui persistent leurs données sur un disque dur se doivent de trouver la façon la plus efficace de le faire.
La façon la plus simple est de créer un répertoire par « table » et un fichier par « rangée », mais ce n’est pas vraiment la plus efficace lorsque nous avons des millions de fichiers à créer. De plus, chaque requête qui doit retourner quelques milliers de rangées devrait ouvrir des milliers de fichiers et les refermer.
C’est pourquoi, la majorité des bases de données vont tenter d’ouvrir le moins de fichiers possibles et créer leur propre structure interne. Dans le cas d’une base de données avec toutes les tailles maximales de colonnes connues d’avance, la structure interne aurait la même taille pour chaque rangée. S’il utilise un fichier par table, il devient facile de garder le fichier ouvert entre les requêtes et de sauter à des rangées précises puisqu’elle connaît la taille fixe à sauter. Lire et créer de nouvelles rangées est très facile dans ce cas.
Là où ça se corse, c’est lorsqu’il faut effacer des données. Prenons ce fichier avec une entrée par rangée:
Actif | ID | Valeur |
Oui | 1 | aaa |
Oui | 2 | bbb |
Oui | 3 | ccc |
Oui | 4 | ddd |
Si nous voulons effacer la dernière rangée (ID 4), il suffit de tronquer le fichier après l’entrée précédente (ID 3). Par contre, si nous voulons effacer la rangée avec le ID 2, il n’est pas possible de faire un trou dans le fichier. Les bases de données vont donc simplement modifier l’indicateur « Actif » et le fichier deviendrait:
Actif | ID | Valeur |
Oui | 1 | aaa |
Non | 2 | bbb |
Oui | 3 | ccc |
Oui | 4 | ddd |
Dans cet état, si quelqu’un demande de lister tous les ids de la table, il recevrait: 1,3,4. Tout va pour le mieux, mais nous avons un fichier qui est plus gros que désiré. La majorité du temps, cela n’est pas un problème puisque d’autres rangées seront éventuellement insérées et vont prendre sa place. Par exemple, si nous insérons le ID 5, le fichier serait ensuite comme suit:
Actif | ID | Valeur |
Oui | 1 | aaa |
Oui | 5 | eee |
Oui | 3 | ccc |
Oui | 4 | ddd |
L’espace est réutilisée et il n’y a pas de gaspillage. Le cas où cela devient un problème est lorsque le disque dur commence à être pleins, que nous savons que plusieurs rangées contiennent des données qui ne nous intéressent plus et que nous sommes prêt à les perdre (ou les sauvegarder ailleurs avant de les effacer). Si nous effaçons ces données, ensuite, nous ne voyons pas d’espace disque libéré et l’exercice devient futile. C’est pourquoi toutes les bases de données permettent de compacter ou nettoyer les tables.
Pour ce faire, il y a plusieurs algorithmes qui sont utilisées alors lisez bien la documentation et comprenez bien les limitations de chacune. Voici quelques exemples:
Le bout théorique est maintenant terminé. Voici les différentes commandes à exécuter selon votre base de données:
Base de données | Concept / Commande | Documentation |
PostgreSQL | Vacuum | https://www.postgresql.org/docs/current/sql-vacuum.html |
Greenplum (utilise PosgreSQL) | Vacuum | https://gpdb.docs.pivotal.io/6-0/ref_guide/sql_commands/VACUUM.html |
MySQL/MariaDB | Optimize table | https://dev.mysql.com/doc/refman/5.7/en/optimize-table.html https://mariadb.com/kb/en/library/optimize-table/ |
MongoDB | Compact | https://docs.mongodb.com/manual/reference/command/compact/ |
Microsoft SQL | sp_clean_db_free_space | https://docs.microsoft.com/en-us/sql/relational-databases/system-stored-procedures/sp-clean-db-free-space-transact-sql?view=sql-server-ver15 |
H2 | Shutdown compact | http://www.h2database.com/html/features.html#compacting |
DB2 | Reclaim | https://www.ibm.com/support/pages/how-reclaim-space-after-dropping-indexes-or-rows-db2-table |
Quand vous désirez utiliser des applications qui utilisent internet tout en cachant votre adresse IP, vous pouvez utiliser un VPN qui va relayer toutes vos connexions ou utiliser un proxy SOCKS5 que vous pouvez configurer par application.
Les applications peuvent être:
Si vous avez accès en SSH à des serveurs Linux, vous pouvez les utiliser sans rien installer de leur côté en utilisant le client Putty sur Windows.
Contenu de la vidéo:
Ce projet était surtout pour essayer de créer un script pour Blender tout en testant la qualité de la précision d’impression de mon imprimante 3D. Avec ce script, vous pouvez créer plusieurs sortes d’objets que vous pourrez incorporer sur vos Lego en créant les connections du dessus ou du dessous.
Voici une situation très désagréable: vous venez d’acheter un lecteur Blu-ray pour votre ordinateur et un film en Blu-ray. Vous essayez le logiciel qui vient avec votre lecteur, PowerDVD, et celui-ci vous dit que malheureusement, vous ne pouvez pas écouter votre film puisque votre carte graphique et/ou votre moniteur ne possèdent pas une certaine fonctionnalité. Vous vous tournez vers le web, trouvez mon article « VLC – Lire des disques Blu Ray » et essayez le disque pour finalement avoir une qualité vidéo horrible ou un message d’erreur vous disant que vous avez besoin d’une librairie supplémentaire, la BD+. Tous ces problèmes existent seulement pour embêter les personnes qui paient pour regarder leurs films légitimement. Merci les compagnies de film!
La vraie raison est bien entendu pour empêcher les gens d’extraire les films, mais ironiquement, c’est la seule façon que j’ai pu trouver pour écouter mes films. Voici donc le logiciel MakeMKV qui permet de le faire gratuitement pendant 30 jours et qui ensuite demande environ 70$ CAD pour une licence à vie, même sur les mises à jour. Si vous n’aimez pas l’idée de payer 70$ de plus, considérez que PowerDVD vous demande d’acheter une nouvelle carte graphique et un nouveau moniteur, ce qui revient bien plus cher et qui n’est pas vraiment souhaitable si votre carte est déjà excellente pour les jeux.
Contenu de la vidéo:
Puisque vous avez un fichier vidéo, au lieu d’utiliser VLC, vous pourrez mettre votre fichier sur PLEX et streamer votre vidéo sur n’importe quel de vos ordinateurs en utilisant le navigateur web ou sur vos tablettes et cellulaires avec l’application PLEX.
KeePass est un logiciel qui permet de sauvegarder tous vos mots de passe dans un fichier crypté.
Contenu de la vidéo:
Ce petit logiciel Java permet de tester la vitesse d’envoie et de réception entre 2 ordinateurs ou plus sur votre réseau personnel. Par exemple, mon réseau contient:
Puisque tout ces paramètres entrent en jeu lors de transfers entre deux ordinateurs et que les vitesses théoriques sont toujours très théoriques, le mieux est de pouvoir mesurer.
Contenu de la vidéo:
Récemment, j’ai regardé avec ma femme pour publier son livre pour enfant sur CreateSpace. Elle avait créé des images dans InkScape qui recouvrent les deux pages lorsque le livre est ouvert. Les fichiers sont exportés de InkScape en PNG et CreateSpace désire recevoir un PDF avec une page par page.
Ce qu’il fallait faire: (00:45)
Avant d’aller plus loin, voici quelques détails techniques pour les différentes mesures du livre selon les requis du monde de l’impression: (01:35)
Pour que le script fonctionne, placez toutes vos images exportées dans le répertoire « output » comme suit: (05:13)
Il est important de mettre le « 0 » si vous avez plus de 10 pages, sinon en listant en ordre alphabétique, la page 11 va venir avant la page 2. En mettant le « 0 », la page « 02 » est avant la page « 11 », tel que désiré.
ImageMagick vient normalement préinstallé sur Linux alors le script qui suit doit être exécuté sur Linux à moins que vous aillez une installation Cygwin ou que vous avez joué avec Bash pour Windows.
#!/bin/bash set -e # Créer les répertoires "cut" et "process" pour mettre les images coupées et le PDF final dedans respectivement. mkdir -p cut process rm -f cut/* process/* echo ---[ Cutting the files ]--- for i in $(cd output;ls pleine-*.png | cut -d '.' -f 1); do echo Cutting: $i convert output/$i.png -crop 2138x3075+0+0 +repage cut/$i-left.png convert output/$i.png -crop 2138x3075+2137+0 +repage cut/$i-right.png done echo ---[ Creating the PDF ]--- convert output/premiere.png cut/*.png output/derniere.png process/book.pdf
Lorsque vous voulez extraire une vidéo, le logiciel va faire un survol de tout ce qui est disponible, tel les trames vidéos, audios et sous-titre, et va ensuite vous laisser choisir la ou les langues que vous désirez obtenir. Étant donné que vous ne pouvez choisir qu’une seule langue favorite, mais que vous pourriez désirer toujours avoir par défaut en français et anglais, devoir manuellement sélectionner à chaque fois devient pénible (surtout si votre disque est une série télévisée avec beaucoup d’épisodes).
Dans les paramètres avancés, il est possible d’entrer une ligne de configuration pour les sélections par défaut. Pour avoir le français et l’anglais, la ligne à mettre est:
-sel:all,+sel:(fre|eng|single),-sel:(havemulti|havecore),-sel:mvcvideo,=100:all,-10:favlang
Contenu de la vidéo: